lundi 27 octobre 2008

Les jours où l'on n'en peut plus

Où l'on n'en peut plus de ressasser et d'entendre ressasser. Les jours où le poids du monde est trop lourd sur les épaules.

Pénélope a la solution pour décharger un peu la mule !

Merci Pénélope, merci !!!

samedi 25 octobre 2008

Oh làlà, qu'est-ce que c'est joli, c'que j'viens d'faire !!!


Parfois, un peu d'auto-satisfaction ne nuit pas.

Qu'est-ce ?
Grands dieux, c'est... C'est le négligé d'une courtisane mongole, oui, oui.

Il n'y a pas de courtisanes en Mongolie ?

Oui, eh bien s'il y en avait, voici ce qu'elles porteraient. Au saut de la natte, dans leur yourte-boudoir.

Une yourte-boudoir... Devrait-on dire un yourtoir ou une boudyourte ?

mercredi 22 octobre 2008

Les vacances du malouin


Gaël Quintric sourit et prend la pose mais l'on sent bien que quelque chose cloche.

Non, effectivement, "Boisflotté" a beau faire bonne figure, il n'est pas à son aise. On l'a fait descendre de son trois-mâts pour aller courir de douteuses aventures loin dans les terres et ma foi, il ne se sent pas dans son assiette, le marin. Il a le mal de terre et se méfie de tout ce qui marche droit.

Comme son frère, le bernard-l'ermite, il s'est tissé son petit univers portatif. Voyez, il ne lâche pas sa pétoire et sa main ne s'éloigne pas de la garde de son coupe-chou. Mais plus fin, il n'a pas quitté cette vareuse gansée que l'on trouve sur toutes les mers depuis le XVIIe siècle. Il est campé dans son pantalon à pont aux larges pattes et il a gardé, vissé sur le crâne malgré la chaleur, son vieux bonnet rayé (taillé, chuchote-t-on, dans la culotte d'un garçonnet !).

Ainsi paré, il devrait survrivre à cette villégiature forcée dans les terres reculées du Poitou. Mais par la Sainte Barbe, il lui tarde de retrouver tangage et roulis, le rhum n'a pas la même saveur quand il n'est pas rehaussé d'un trait de sel !

vendredi 3 octobre 2008

Message à caractère personnel

Le message suivant est adressé au passager de la micheline de 7h30 qui voudra bien avoir l'amabilité de se reconnaître.


Qu'on se le dise !


Image PLONK ET REPLONK, Les belles cartes postales, imprimées à 800 mètres d'altitude